Du 14 au 17 mai 2015, la villa Méditerranée à Marseille sera l'hôte des 6èmes assises nationales et internationales du sport populaire organisées par la FSGT dans le cadre de ses 80 ans.
Ateliers, carrefours et conférences...mais également activités physiques et sportives, et temps plus insolites rythmeront les débats.
Seront à l'honneur des témoignages et des propositions sur l'avenir du sport pour toutes et tous, ainsi que des réflexions sur les contenus sportifs pour répondre toujours mieux aux besoins de la population.
Autour d'une participation importante d'associations sportives du bassin Méditerranéen, la dimension internationale sera partie intégrante de la manifestation.
Dans une ville où la FSGT est la deuxième fédération sportive en nombre d'adhérents avec une action reconnue de cohésion sociale, ces Assises agrégerons un nombre important d'acteurs du champ sportif, de l'éducation populaire, de l'économie sociale et solidaire, ou encore de la santé.
A l'occasion des 6èmes Assises nationales et internationales du sport populaire qui se tiendront à Marseille du 14 au 17 mai prochain, Sport et Plein Air a publié un dossier, un outil supplémentaire, avec des angles de vue différents, complémentaires, peut-être contradictoires de ceux qui seront traités dans les conférences et carrefours. La «crise», avec ses conséquences et voies de sortie vers des jours heureux, en est le fil rouge. La sociologue, Françoise Lorcerie nous apporte un éclairage particulier sur la laïcité, ou comment elle est identifiée et vécue dans les milieux populaires. Comment parvenir à la transformation sociale grâce au sport associatif ? La richesse des expériences vécues dans la FSGT qui seront étudiées dans les 25 ateliers au programme, sans présager des conclusions, est synthétisée pour en faire ressortir la substantifique moelle. Un portrait de l'Association sportive de Nice-Matin affiliée à la FSGT, dont les dirigeants ont lutté et luttent encore en tant que salariés du journal, illustre le cas d'une de ces associations «face à la crise». La solidarité demeure.